Les brumes de Grandville, tome 1 : Monotropa uniflora,Gwendoline Finaz de Villaine

Dernière lecture en date ! Il s’agit d’un livre que j’avais reçu dans ma box Once Upon a Book (mais si souvenez-vous !). Il m’intriguait et j’avais hâte de savoir si il me plairait j’ai donc entamé sa lecture il y a quelques jours.

couv11493395.jpgJe vous mets un petit résumé succinct car, comme vous le savez ce n’est pas ma spécialité :au lendemain de la première guerre mondiale, Apollonie devient professeur de musique. Belle, libre et déterminée, la jeune orpheline découvre la vie au château de Grandville. Elle ne tarde pas à faire la connaissance du fils de la Comtesse, le magnétique et mystérieux Hector, dont la beauté n’a d’égale que le cynisme. Apollonie, encore troublée par cette rencontre, tombe sous le charme indécent dune voix mystérieuse sortie des ombres

Tout d’abord, je dois dire qu’au premier abord je ne suis pas une grande fan des livres dont l’action se situe durant (ou un peu après) la Première Guerre Mondiale. Néanmoins, je reconnais que celui-ci a su me séduire ! Cela est sans doute dû au fait que tout se déroule dans une grande demeure bourgeoise. De ce fait on est loin des tranchées et des poilus et cela est fort agréable de se retrouver dans une sorte de bulle après guerre où, finalement nous n’avons pas la sensation que cette dite guerre ait eu le moindre impact sur la façon de vivre de ces gens.

J’ai moyennement apprécié le personnage d’Apollonie car je l’ai trouvé très naïve et fleur bleue. Et puis je ne comprends pas comment elle fait pour ne pas être terrifiée à la vue d’un fantôme ! Elle s’y acclimate trop vite à mon goût rendant la chose presque banal. Il y a également le fait qu’elle ne se méfie de personne que j’ai trouvé insupportable, des événements arrivent et quand bien même on lui dit « c’est telle personne qui a fait le coup », elle persiste à croire que tout le monde est gentil et qu’il est impossible qu’on lui veuille du mal. Cela fut assez agaçant mais au final ce n’est pas ce qui m’a le plus dérangé.

Là, où j’ai commencé à m’ennuyer, c’est lorsque l’histoire à complètement basculé dans la romance. Soudainement, Apollonie se retrouve éperdument amoureuse et dès lors tout tourne autour de cela, délaissant quelque peu la vie au château. Evidemment, il fallait s’y attendre puisque le livre est une romance mais je n’ai pas trouvé que celle-ci était touchante, je la trouvais au final assez banale et sans intérêt.

Enfin, en ce qui concerne la fin, je dois dire que la déception était à son comble car j’avais réussit à deviner celle-ci quelques chapitres auparavant. De plus, j’ai trouvé qu’il y avait trop de descriptions sur les lieux que le personnage traversait.

Je savais que le genre romance n’était pas un genre que j’aimais mais avec ce livre j’en ai eu la confirmation. J’ai tendance à trouver les histoires d’amour trop niaises dans les livres. Je ne lirais donc pas le second tome de cette histoire.

Néanmoins, pour celles et ceux qui aiment ce genre là, je pense que vous prendrais plaisir à le lire car tout les éléments semblent réunis pour une belle romance à l’eau de rose.

2 commentaires

  1. zélie · avril 19, 2016

    Bonjour, je te trouve bien sévère mais si ce genre ne te plait pas, je comprends bien.
    J’ai moi-même lu ce livre mais comme j’aime bien la romance et que je cherchais un roman sans prise de tête, celui-ci est parfait….
    Je te joins ma chronique si cela t’intéresse : http://les-livres-de-zelie.blogspot.fr/2016/02/chroniqueles-brumes-de-grandville-de.html

    Aimé par 1 personne

    • egocblog · avril 19, 2016

      Tiens en lisant ta chronique j’ai découvert que nous habitons le même département. Je ne pense pas être sévère c’est mon ressenti et c’est pour cela que je précise que ce genre ne me convient pas. Néanmoins tu remarqueras que je n’ai pas émis que des points négatifs sur ce roman 😉

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